Le début du mois de février est censé être assez sec, voici l'aspect de la Ruaha River le 6 février 2006.
Les affluents sont à sec pour la plupart, ici la Mwagusi.
Les berges sont plutôt vertes à l'ombre des grands arbres où paissent cobes, zèbres et girafes.
Un Pygargue vocifète guette quelque poisson-chat dans les flaques d'un cours d'eau presque à sec.
Ruaha est le royaume des baobabs, ici avec Girafe.
Baobabs en bord de piste.
Baobabs et éléphants se partagent la vedette.
Éléphant près d'un baobab dont l'écorce a été mangée par ses congénères.
Dans une zone plus sèche, un grand troupeau d'élands, nous en avions compté 111.
Le rare et timide Petit Koudou.
Il y a quelques guépards à Ruaha, dans une zone moins arborée.
Sous le sable, la rivière coule encore et les éléphants viennent creuser et s'y abreuver.
Des Grands Koudous dans la rivière de sable.
Cobes defassa dans les flaques.
On peut voir que la Ruaha est loin d'être à son plus haut. Dans le lit de la rivière, troupeau d'impalas. Au milieu, deux jabirus.
Mangoustes rayées en tribu.
Les éléphants adorent les fruits de ce palmier qu'ils secouent pour les faire tomber.
Martin-chasseur du Sénégal. Sa voix puissante a été notre réveil-matin cette année-là.
Éland et Piqueboeufs à bec rouge.
Combat de buffles (pas pour rire).
Girafe du soir sur fond de palmiers.
Coucher de soleil au-dessus de la Mwagusi.
Voici le parc vu d'avion en février 2007.
La végétation est très haute et la plupart des animaux y passent inaperçus.
Toutes les rivières ou presque sont en crue.
Zébres et Grands Koudous dans l'herbe haute.
Courvite à triple collier au bord de la piste, seul endroit où l'on peut voir les oiseaux au sol.
Euplecte à épaules blanches.
La Ruaha River a des airs de torrent furieux.
Et la Jongomero est montée d'un mètre pendant le dîner, nous obligeant à quitter la table mise sur la berge.
Pintades les pieds au sec.
Ombrette sur fond vert...
Février 2017, la rivière Ruaha a un aspect intermédiaire, plus près de la sécheresse de 2006 que du déluge de 2007.
Le paysage est globalement verdoyant, avec de l'herbe rase au bord de la piste.
Un matin à la sortie du camp une famille de lions occupe la piste.
Un Héron mélanocéphale au poteau indicateur.
C'est un mâle et il chante !
Le Petit-duc africain entame sa sieste diurne.
Les migrateurs sont bien là : Coucou gris...
Pie-grièche du Turkestan loins de son Asie centale.
C'est la première et seule fois où nous avons rencontré des Lycaons à Ruaha.
Dans les broussailles, Agrobate à dos roux...
À l'affut, Autour unibande...
et d'autres rapaces perchés, Fauconnet d'Afrique (mâle)...
Le commun Calao de Decken.
Un oiseau tellement banal qu'on oublie souvent de le photographier, Choucador superbe.
Girafes dans le lit de la Ruaha.
Aigle ravisseur sur fond de ciel d'orage.
Le ciel s'assombrit brusquement. Nous verrons l'eau se remettre à couler dans les bras asséchés au bout de quelques heures.
Le Rollier à longs brins en profite pour prendre une douche.
Devant son terrier, Otocyon.
Coucal à sourcils blancs.
Crépuscule dur la Ruaha River.
