Tarangire National Park

TARANGIRELe parc national du Tarangire est proche d'Arusha, au sud de Manyara. Le trajet Arusha-Tarangire (ou vice-versa) peut se faire en 2 à 3 heures sans foncer (ce qui est le plus souvent impossible de toute façon, car les 4x4 de safaris ont - théoriquement du moins - un moteur bridé à 80 km/h). 

carte tarangire cSituation

Mesurant 120 km dans son axe nord-sud, le Tarangire NP est bordé de deux réserves, la zone de conservation de Lolkisale au nord-est et la réserve de Mkungunero au sud. Il est traversé tout du long par la rivière Tarangire qui lui a donné son nom et qui concentre sur ses rives et dans son lit une grande part de la vie animale du parc, même en dehors de la saison sèche. D'une altitude moyenne de 1100 m (de 982 à 1646 m), le parc offre des paysages splendides, très variés et vallonnés avec deux grandes collines au nord-ouest, la colline Tarangire et la colline Kitibong, une zone marécageuse au sud, avec le marais de Silale.  Les paysages sont bien caractéristiques, avec de hautes collines, la rivière encaissée, la végétation riche en baobabs, les hautes termitières de terre rouge. Cette même terre rouge qui donne leur beau maquillage rouge aux nombreux éléphants (jusqu'à 3000 dans le parc). En conclusion, un parc à ne pas manquer, qui mérite bien plus qu'une seule journée, surtout en saison sèche !

Grande faune

Sa richesse en faune le place au deuxième rang pour la densité, juste après le Serengeti (le cratère du Ngorongoro est "hors concours"). De plus, les animaux sont facilement observables en saison sèche où ils sont encore plus concentrés dans le lit de la rivière. Il est également richement pourvu en éléphants rouges (du fait de la poussière argileuse) et en baobabs au tronc plus ou moins abîmés par les susdits pachydermes (qui, non contents de les écorcer "soigneusement", en arrivent parfois à transpercer l'énorme tronc).

La rivière Tarangire qui traverse tout le parc dans son axe nord-sud et que la piste traverse et retraverse offre des rencontres à chaque bras ou pont : cobe des roseaux, tsé-tsé, jabirus, Monsieur à l'œil brun, Madame à l'œil jaune, héron goliath, lions, martins-pêcheurs, tsé-tsé, damans, écureuils (deux espèces), serval, tsé-tsé, oréotragues, dik-diks, ourébis, etc. Il est fréquenté par les cobes (de la variété à croissant), les Élands du Cap, des Oryx (Oryx beisa) et c'est le parc du nord où l'on peut voir des Grands Koudous et parfois, dans le sud du parc, avec de la chance (nous n'en avons pas vu en 4 safaris) des Gérénuks (Litocranius walleri). Nous y avons vu des léopards, des otocyons à la chasse au termite, des lionnes dans les arbres, et un serval en bordure du marais Silale. Les guépards sont rares (nous n'en avons vu que deux fois en quatre safaris), il serait possible, avec pas mal de chance, de voir des lycaons...De plus petits carnivores comme les mangoustes (6 espèces) peuvent être observées (ou entraperçues pour les plus farouches et/ou nocturnes). 

En période des pluies, la faune est dispersée, et même, pour les grands herbivores, peut quitter le parc. Il existe en effet un phénomène de mini-migration de gnous. Mini car les distances sont bien inférieures à celle de la grande migration, et le nombre de biquets concerné est bien inférieur au million de la susdite grande migration, il ne concerne "que" quelques dizaines de milliers de têtes, gnous, élands, zèbres qui quittent le parc en saison des pluies, en mars après les mise-bas, pour les pâturages voisins qui sont de meilleure qualité nutritive, et notamment plus riches en phosphore indispensable pour une bonne lactation (alors que le sol volcanique du parc est pauvre en phosphore). Les grands herbivores commencent à revenir dans le parc en juillet et se massent près de la rivière pour le reste de la saison sèche. 

 

 
tarangire carte af.geoCarte du Tarangire par Africa geografic (excellente) agence de safaris africains

Oiseaux

On a recensé plus de 500 espèces d'oiseaux au Tarangire, plus précisément 524 sur Avibase. On peut notamment y trouver deux endémiques, l'Histurgopse à queue rouge, Histurgops ruficauda, Rufous-tailed Weaver et le Spréo cendré, Lamprotornis unicolor, Ashy Starling. La meilleure saison pour les oiseaux va de décembre à février, où l'on trouve les migrateurs du paléarctique et où les résidents sont en nidification et arborent (pour les Messieurs) leur plus beau plumage nuptial. Les conditions de déplacement dans le parc deviennent difficiles pendant les mois très pluvieux d'avril et mars et me font déconseiller cette période, où d'ailleurs un certain nombre de camps sont fermés. En février une année nous avons vu des becs-ouverts en quantité phénoménale, tous les arbres au bord du marais de Silale en portaient un bon nombre.

Reptiles, Amphibiens, Invertébrés

Trois espèces de tortues terrestres dont la plus facile à voir est la Tortue léopard, Stigmochelys pardalis, Leopard Tortoise, deux espèces de tortues aquatiques, deux espèces de varans, le Varan du Nil, Varanus niloticus, Nile Monitor et le Varan des steppes d'Afrique orientale (ouf), Varanus albigularis, White-throated Monitor, des lézards, agames et gecko, vingt-cinq espèces de serpents, avec deux de pythons (nous en avons vu trois fois dans les arbres bordant la piste qui longe le marais Silale), mais aussi des espèces très venimeuses comme Mamba noir, Dendroaspis polylepisBlack Mamba, Vipère heurtante, Bitis arietansPuff Adder et  Cobra cracheur à cou noir, Naja nigricollis, Black-necked Spitting Cobra, qui incitent à prendre des précautions pour les walking-safaris.

Les Amphibiens sont nombreux dans les marais, ce qui explique la forte concentration de cigognes diverses que l'on peut souvent y observer.

Tse tseLast but not least, les Insectes... Bon, les papillons, de jolis, très jolis insectes, il n'en manque pas, mais il y a aussi les autres. Les redoutés, les redoutables... Car redoutables, les tsé-tsé, Glossina morsitans (et ses cousines G. fusca et G. palpalis) le sont, non qu'elles transmettent la trypanosomiase, la Maladie du sommeil, mais par les effets de leurs piqûres. Le risque de Maladie de sommeil est faible, très faible dans des parcs où la population humaine, touristes, personnels des camps et rangers, est et indemne de la maladie et très restreinte. Et où la faune sauvage est résistante au trypanosome. D'où absence de réservoir contaminant et ipso facto, pas de contamination. Mais alors pourquoi redoutables ? Eh bien, d'abord, leurs piqûres, comme celles des taons, sont douloureuses, même très douloureuses. Et elles peuvent provoquer des réactions d'inflammation et d'oedème considérables, au point de vous défigurer  (provisoirement, on se rassure) et de troubler votre sommeil (un comble...). Cela dépend de la sensibilité individuelle, l'un peut tolérer (relativement, c'est mon cas) et l'autre (ma blonde, au hasard) peut être très sérieusement atteinte. Les tsé-tsé peuvent être (exceptionnellement) absentes une année (le cas en 2002) et attaquer en trombes d'autres années (cas le plus fréquent). Elles suivent les voitures en mouvement et sont attirées par les vêtements sombres. Elles peuvent piquer à travers les vêtements pas trop épais. Une fois rentrées dans le 4x4, il ne sert à rien d'essayer de les assommer, elles ont eu le temps au cours des dizaines de milliers d'années précédentes de développer une excellente résistance aux coups de queue des zèbres et autres gnous. La solution quand la voiture est envahie : s'arrêter dans un endroit sûr, fermer les vitres, pulvériser larga manu un insecticide et patienter à petite distance du 4x4. Les insectifuges type InsectEcran sont peu efficaces, nous utilisons le Mosi Guard, que nous trouvons plus efficace sans être ébarnouflant. Les tsé-tsé sont plus fréquentes en saison des pluies. Elles affectionnent les endroits boisés.

Alors détestables ? Pour redorer un peu leur image, il faut se rappeler que très souvent, ce sont elles qui ont gardé à l'état sauvage les vastes portions de territoires qui sont devenus des parcs nationaux : leur présence a très fortement limité la présence humaine, l'Homme est sensible à la trypanosomiase, son bétail aussi contrairement à la faune sauvage, aussi ces contrées ont été exclues de l'exploitation pour agriculture ou élevage. Il n'est donc pas étonnant que Tarangire, Selous/Nyerere, Ruaha, Katavi et autres soient "infestés" de tsé-tsé, il faut même les en remercier. Pensez-y à la prochaine affreuse piqûre...

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Accès

Il y a 140 km et trois heures de route entre Arusha et le parc du Tarangire. Il faut compter un peu plus de quatre heures pour les 200 km séparant le parc de l'aéroport Kilimanjaro International Airport. Il y a 110 km et un peu moins de trois heures entre le parc Tarangire et le parc Manyara. Enfin  le cratère du Ngorongoro est à 157 km et 3 h 30 du parc.

arusha arusha1Google Maps : Arusha-Tarangire. Cliquer sur l'image pour l'agrandir

Le climat, quand y aller ?

Classiquement, on distingue une petite saison sèche en janvier et février, une grande saison sèche de juin à octobre, une grande saison des pluies en mars et avril, avec des camps qui peuvent être inatteignables, si encore ils ne sont pas fermés. Le Tarangire est un parc assez peu fréquenté en janvier, février car les agences ont tendance à ne pas inclure le Tarangire en hiver.  Il est donc surtout visité en été (notre été, en fait l'hiver austral), quand la sécheresse attire vers les rives de la rivière Tarangire de grands troupeaux d'éléphants et de grandes populations de gnous et de zèbres dans ses 2 850 km² mieux pourvus en eau que les régions environnantes. C'est également une période faste pour les prédateurs de tout poil qui sont alors plus facilement observables. Cependant nous n'avons jamais été déçus par lui en janvier ou février, pendant ce que l'on appelle "la petite saison sèche". 

Le tableau ci-dessous est adapté de safaribookings.com, un excellent site anglophone de comparaison de safaris africains. Il montre bien qu'il n'y a pas une grande différence entre la petite saison des pluies de novembre-décembre et la petite saison sèche de janvier-février.

tarangire climat

Hébergements très recommandés ou un peu moins

Je recommande chaudement les deux petits camps de haut de gamme que sont Swala Camp et Oliver's Camp, petits par la taille (6-8 tentes chacun) mais pas par la qualité et la gentillesse du service.

Oliver's Camp (séjour en 2005) est un peu rustique, mais très agréable. Il est parfois difficile d'accès quand il a plu, car il faut traverser le marais de Silale pour y accéder. Il est plutôt isolé et conviendra bien à ceux qui n'aiment pas la foule. Les chauffeurs guides sont excellents, ils pilotent avec maestria leurs jeeps à châssis court en hors-piste (c'est une concession privée) "sans visibilité" dans l'herbe haute, sans pour autant oublier de repérer l'oiseau rare perché à 50 m de distance ! Des safaris à pied y sont organisés. Certes je n'en suis pas le plus grand des fanas, la photographie y est bien plus difficile qu'en game-drive, mais c'est une expérience qu'il faut avoir faite au moins une fois dans sa vie de safari. Les animaux ont une distance de fuite bien plus grande, on en voit moins, mais on peut relever leurs empreintes, voir les poils, les plumes abandonnées, examiner la flore, la petite faune, insectes et araignées, toutes choses habituellement négligées ou dédaignées, souvent injustement. Et puis, il y a le folklore, le ranger armé qui ouvre le chemin, la satisfaction de faire enfin fonctionner un peu ses muscles, le sentiment d'être plus en communion avec la nature environnante, le délicieux petit sentiment de danger encouru, l'absence de bruit de moteur... Oliver's Camp n'a que 8 tentes, une mess-tent largement ouverte sur le bush, avec à disposition livres, cartes et, particularité du camp, un grand herbier très intéressant. C'est un endroit qui vous ramène (sans risque) à l'époque d'Hatari, des grandes chasses, des expéditions d'aventuriers, assez loin des scories de la civilisation. Chaudement recommandé. Oliver's Camp appartient maintenant au groupe Asilia, ce qui est plutôt un gage de qualité.

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                                                                                         Oliver's Camp, mess et tente

Le  Sanctuary Swala Camp (séjour en 2004) est assez loin de l'entrée du parc, dans une zone bien appréciée des tsé-tsé, près du Gurusi Swamp (marais). A Swala, les cobes et phacochères viennent boire dans le camp, qui sert aussi de refuge aux bushbabies. Un éléphant ou un léopard s'aventure parfois dans le camp qui possède le seul point d'eau presque permanent du voisinage. Les repas sont pris dans une "mess-tent" mais des dîners nocturnes peuvent être organisés hors du camp sous un baobab dans une ambiance très "out of Africa". Le service est aux petits soins. L'atmosphère intime avec seulement 9 tentes, dotées chacune d'une petite terrasse sur laquelle est apporté le café du petit matin fait à la Bodum accompagné de ses biscuits anglais. Il est excellent, comme le service et les repas. Également chaudement recommandé.

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Swala Camp

Le Tarangire Safari Lodge (ex Tented Camp) est bien placé, avec une très belle vue sur la rivière en contrebas, il est doté d'une piscine, ce qui peut être un plus car il fait très chaud au Tarangire. Il n'a que 35 tentes et quelques bungalows, mais il est quand même un peu trop fréquenté à notre goût, surtout le midi où des non-résidents profitent de la restauration, assez banale, dans une ambiance assez peu safari... Il est assez près de la sortie, ce qui peut être utile pour déjeuner quand on part de Swala Camp qui est très loin dans le parc. La direction du Tarangire Safari Lodge a été jugée responsable à la suite du procès intenté pour un accident mortel par une famille française. Leur jeune enfant avait été tué par un léopard attiré par les cuisines et dont la présence était connue et même encouragée. Donc, prudence, ce drame épouvantable nous rappelle que le danger existe même à quelques dizaines de mètres des endroits fréquentés. 

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la rivière Tarangire vue du Tarangire Tented Lodge 

Nous ne recommandons pas trop le Sopa Lodge, malgré sa belle piscine, plus engageante que celle du Tarangire Safari Lodge, et sa sympathique fréquentation par les damans (et agames, et mangoustes) car il est un peu excentré, son architecture est mastoc et surtout, il fait un peu trop usine à touristes, toujours à notre goût. On y trouve près de 80 chambres, plus ou moins bien placées, parfois bruyantes, des parties communes immenses et réfrigérantes, un magasin de souvenirs bien utile pour acheter une carte du parc ou des cartes postales (attention au manque de monnaie, un souci chronique du pays). La cuisine est bonne, le personnel gentil (ce qui n'est pas un scoop en Tanzanie, où, sourire aidant, l'accueil est quasi toujours chaleureux). Une mention particulière à l'amateur d'insectes : les allées éclairées a giorno toute la nuit attirent une riche population de coléoptères, lépidoptères et autre menu fretin à chitine...

Le camp de Tanganyika.com, Mawe Ninga Camp a l'inconvénient, non négligeable, d'être sale et mal tenu, au moins lors de notre séjour en 2008... Les tentes étaient percées, l'eau de la douche s'est arrêtée avant le rinçage du shampooing (le personnel avait "oublié" de remplir la citerne). Les damans omniprésents et par ailleurs charmants avaient laissé leurs déjections un peu partout dehors et aussi dans les tentes... et le service était indolent et négligent, pour ne pas dire inexistant ou pire empreint de mauvaise volonté (se faisant tirer les oreilles pour apporter des céréales au petit déjeuner, par exemple, ou absent pour servir des boissons avant le repas). Par ailleurs, le camp est excentré par rapport aux lieux de vie de la faune habituelle, il faut bien compter 3/4 d'heure pour y accéder. Pour le positif, le camp est placé au bord d'une falaise, offrant une vue splendide sur le lac Burungi, vue qui peut porter jusqu'au lac Manyara par temps dégagé. L'orientation vers l'ouest permet de profiter des beaux couchers de soleil africains. Les damans et mangoustes ne sont pas bégueules et on peut très facilement leur tirer le portrait, les rochers près du camp sont aussi le repaire d'oréotragues bien photogéniques. Le camp est fréquenté par des petits oiseaux, mais l'absence très regrettable d'un bain d'oiseaux et/ou de mangeoire rend leur photographie plus difficile que dans les camps bien équipés. Ce camp appartient à Tanganyika.com et est proposé prioritairement par ce tour-opérateur ou par les voyagistes dont il est le "réceptif" en Tanzanie. Nous ne partageons absolument pas l'avis de ceux qui en font un des meilleurs camps du Tarangire, seule sa situation en surplomb sur les lacs est exceptionnelle. Le reste aurait besoin d'une très sérieuse reprise en main.

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Mawe Ninga : vue sur le lac Manyara 

Mais en juillet 2011, j'ai reçu un message réconfortant de Sylvie :

" En ce qui concerne vos réserves sans doute justifiées à l'époque de votre voyage sur le Maweninga Camp, je ne peux m'empêcher de vous indiquer que pour nous, cela a été notre meilleur logement de tout le safari : tente neuve de super qualité, et surtout remarquablement hermétique (important pour moi qui n'apprécie pas les insectes et autres petites bestioles dans une chambre). Et impeccable. Et le reste aussi : service, très bonne cuisine. La nuit a été parfaitement silencieuse alors que nous étions au cœur de la nature. Donc, les choses peuvent changer depuis 2008 et s'améliorer jusqu'à devenir parfaites."

Même si la nuit silencieuse ne fait pas partie du cahier des charges de mes nuits de safari, je dirai même que quelques rugissements, grognements ne sont pas pour me déplaire, je remercie encore Sylvie de ces données qui pourront être très utiles au moment du choix.

Droits d'accès, Fees

 Pour les non-citoyens d'Afrique de l'Est, les droits d'entrée sont de 45 $ par jour pour les 16 ans et plus, 15 $ entre 5 et 16 ans, gratuit pour les moins de 5 ans.

Le point de vue de l'ambassade :

ambassLe parc est situé à environ 85 km au sud du lac Manyara. Le Tarangire est réputé pour ses concentrations exceptionnelles d'animaux, principalement entre août et janvier. Pendant cette période des milliers d'animaux quittent les grandes steppes Masaï à la recherche d'eau et migrent vers la rivière Tarangire. L'une des grandes attractions de ce parc est la concentration inhabituelle d'éléphants (les troupeaux pouvant dépasser les 300 têtes).
Le parc abrite des espèces parfois difficilement repérables ou même introuvables dans les autres parcs du Nord : le Gerenuk, le Petit Koudou, l'Oryx, l'Éland et la plus recherchée des antilopes, le Grand Koudou.

Meilleure période : de juin à novembre. (d'Arusha compter 2 heures de route ou 45 minutes de vol en charter).

Le point de vue de TANAPA sur le parc national du Tarangire

Superficie

2850 km2

Situation

A 118 km au sud-ouest d'Arusha

Y aller

Facilement accessible depuis Arusha ou le lac Manyara par une route bitumée jusqu'à 7 km de l'entrée principale; possibilité de continuer vers le cratère du Ngorongoro et le Serengeti. Vols charters depuis Arusha et le Serengeti.

A faire

Safaris à pied avec guide; excursions à la journée dans des villages Masai et Barabaig, et découverte des centaines d'anciennes peintures rupestres (inscrites depuis peu au patrimoine mondial de l'UNESCO) à proximité de Kolo sur la route de Dodoma.

Meilleur moment

Toute l'année mais surtout la saison sèche (de juin à septembre) pour un nombre exceptionnel d'animaux.

Logement

Deux grands lodges et plusieurs campements de luxe à l'intérieur du parc. Une dizaine de lodges, de campements et de sites de camping juste à l'extérieur du parc.

Liens

site TANAPA

Checklist des oiseaux du Tarangire NP  source exoticbirding.com

Contacts

P.O. Box 3134, Arusha
Tél.: +255 689 062 248
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Instagram : tarangire_national_park